Assiste-t-on à une marchandisation croissante des économies occidentales?
-A v1-8 rappel du temps des amours heureuses avec Lesbia -1 v1-2 : une entré en matière élégiaque -2 v3-8 : nostalgie des moments heureux avec Lesbia
-B v9-fin : conscience d’un présent désenchanté : tentatives de s’affranchir de cette passion -1 v 9-11 le constat froid de l’éloignement de la femme aimé -2 v 12-14 les adieux de Catulle à la femme aimé -3 v15-19 une série de malédictions
- conclusion.
-intro) poète du 1er siècle av J-C, Catulle appartient à une génération de jeunes poètes qui introduisent à Rome une audace nouvelle. Dans le genre poétique, mêlant les poèmes savant et les fanatisais personnelle. L œuvre de Catulle est désordonné dans la forme mais varié dans les termes. Le texte étudié correspond à un moment de dépit amoureux. Lesbia étant infidèle et capricieuse, Catulle craint la rupture. Il va donc l’anticiper dans un monologuée multiplier les encouragement à se libéré de la femme qui le fait souffrir. Comment le poème montre-t-il l’influence de Lesbia ? L’entreprise est elle concluent ?
A1) la souffrance est marquée par le vocatif « miser Catulle ». Le poète insiste sur la dégradation de l état mentale « ineptire » puis sur la rupture avec la répétition du verbe perdre « perisse, perditum »v2. Catulle encourage alors par des subjonctifs d’ordre à reconnaître la perte et a accepté le renoncement.
A2) pourtant les vers qui suivent contredisent les résolution de Catulle. En effet dans un récit au passe simple et à l’imparfait (+ adverbe « quondam ») le poète se souvient de la beauté de la dame et en particulier du pouvoir dévastateur de son regard : « fulsere condidi tibi soles ».
Catulle se souvient aussi des moments où Lesbia lui accordait ses faveurs « quae tu velebas nec puella nolebat » litote. Enfin la modification du refrain au vers 8, avec l adverbe « vere intensifie la nostalgie du poète.
B1) le passage du débute par une rupture temporelle : « nunc jam »+ utilisation du