au niveau du squeltte
Déjà, l'entraînement accentue la solidité osseuse, la structure osseuse deviens plus résistante, et les os s'adaptent à répéter tel ou tel effort permettant une plus grande efficacité. On observe une augmentation de la surface articulaire et également de l'épaisseur du cartilage. Le volume des tendons et des ligaments augmente, ceci améliore leur résistance à la traction, et minimise les risques de fracture.
Au niveau du muscle
Avec un effort physique régulier, la masse musculaire augmente par épaississement des fibres et par accroissement du nombre de fibres. On constate alors une augmentation des forces musculaires, ainsi qu'une diminution des réserves graisseuses. Une augmentation du volume de mitochondries ( changement du glucose en ATP ), de l'activité enzymatique, et également du taux de glycogène musculaire et du nombre de capillaires sanguins.
La pratique sportive génère des modifications remarquables, notamment visibles au niveau de la vitesse de transmission des informations. On s'aperçoit également qu'il existe une meilleure adéquation entre le système nerveux et le geste demandé. Cela entraînera un meilleur rendement et donc une dépense énergétique plus faible.
L'entraînement permet à l'individu d'être sûr de ses gestes et donc de diminuer le stress lié à la réussite.
Au niveau de la respiration
L'entraînement provoque une augmentation de l'amplitude thoracique ainsi que de la surface d'échanges au niveau des alvéoles.
Le nombre de ventilation par minute diminue, de même, la ventilation étant plus efficace l'endurance des muscles respiratoires augmente et on observe une diminution ou la disparition des phénomènes d'oppression thoracique.
Les méthodes d'entraînement telles que le fractionné ( répétition d'un exercice avec de courtes périodes de récupération ) ainsi que le travail en endurance ou en altitude permettent d'améliorer les capacités d'ajustement cardio-respiratoire à l'exercice. Ces capacités peuvent être