La publicité crée un rêve orienté, contrôlé par la volonté et les principes de la société de consommation. On peut se demander quel vision du monde publicitaire ces documents proposent-ils ?
Nous verrons que si le monde publicitaire comporte de nombreux atouts, il est exposé aussi à certaines dérives, ce qui implique de déterminer des limites.

Les quatres documents rappellent tout d'abord les atouts liés aux publicités. Jean-Marie Dru et Frédéric Beigbeder s'accordent pour dire que les publicités cherchent à créer un besoin chez le consommateur, le persuader que le produit répond à ce besoin et qu'il va le faire mieux que les autres afin que celui-ci l'achète alors qu'à la base il n'en avait pas besoin. Les publicités permettent un marché économique sain, et sont une source de financement. Selon Faujour, l'utilisation de personnes célèbres, ou dans le cas de sa bande dessinée, de joueurs de football, permet de promouvoir une marque et d'inciter les consommateurs à acheter, du fait de la référence. De plus, Jean-Marie Dru évoque que c'est une profession qui met en relation de nombreuses professions, et tous les domaines sont concernés. Dans ces métiers, la qualité est plus importante que la quantité. Leur but étant de trouver une idée originale afin d'augmenter la valeur du produit et d'apporter de la fantaisie dans la vie des consommateurs.

Bien que le monde publicitaire comporte de nombreux atouts, il est aussi exposé à certaines dérives qu'il faut prendre en compte. En effet, Jean-Marie Dru évoque le nombre important d'affichages qu'il y a aujourd'hui et refuse cette omniprésence dans la vie de tous les jours. Il ajoute que les affichages dénature les paysages naturels des campagnes. Faujour quant à lui, critique les publicités avec sa bande dessinée, en laissant comprendre que c'est un détournement de l'esprit du sport, et que les joueurs sont grâcement payer pour faire ces publicités.
Enfin, Frédéric Beigbeder souligne que les concepteurs de publicités