Bibliographie de théophile gautier
Théophile Gauthier : né le 30 août 1811 à Tarbes, Théophile Gautier est un poète, romancier et critique d’art français.
Tout petit déjà, il s’intéresse à la poésie et voie Victor Hugo comme son maître. Il participera activement à la bataille d’Hernani en 1830. Entre 1831 et 1832, il publie ses premières poésies dans lequel il développe le principe théorique de « L’art pour L’art ». Dans la préface de Mademoiselle de Maupin, il dicte ses mots d’autre qui sont : le respect de l’art, le culte de la beauté et l’amour du métier. Il écrit que : « L'art, c'est la liberté, le luxe, l'efflorescence, c'est l'épanouissement de l'âme dans l'oisiveté. » Désormais, les outrances romantiques sont bannies ; seule compte la beauté. . C’est aussi durant cette période qu’il écrit ses première nouvelles comme, La Cafetière. En 1836, il donne des nouvelles et des critique d’art tout d’abord dans le journal La chronique de Paris, puis dans plusieurs autres journaux. Il publie en 1838, La Comédie de La Mort, et s’essaie en 1839 au théâtre avec une pièce intitulé, Une Lame De Diable. Après cela, il fait plusieurs longs voyages d’abord au-delà des Pyrénées et il rapport un carnet d’impression (Voyage en Espagne) et les poèmes, España, puis un peu partout en Europe et en Afrique du nord. En 1852, il publie, Emaux et Camées, un recueil de vers qu’il va enrichir jusqu’en 1872. Grand défenseur de « l’art pour l’art », précurseur des Parnassien, il est salué par un grand nombre d’auteur connu comme Baudelaire ou Théodore de Banville. Après cela, il continu à publier tout une série d’articles, de poèmes, d’une biographie d’Honoré de Balzac et d’œuvres de fiction comme, Le Capitaine Fracasse, parue en 1863 et devient bibliothécaire pour la princesse Mathilde. Cela lui permet de s’intéresser au musicien mais aussi aux peintres. Il élaborera d’ailleurs le livret du, Ballet Giselle. En 1872, Théophile Gauthier c’éteint et laisse ainsi l’image