bidonvilles et écologie
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A l’heure de la question couteuse du développement durable ou quelques villes tentent une conversion verte et d’autres sont confrontées au problème des « fausses villes », une question se pose : peut-on changer une ville, avec la pire empreinte écologique ou envahie par des habitations illégales, en ville propre ?
I) Les bidonvilles, fléau touchant les suds (Afrique, Asie du sud, Asie orientale, Amérique du sud) reflètent la pauvreté extrême : en Asie 60.8 % de la population est logée dans un bidonville, comme Dhavari un très grand bidonville indien qui abrite environ 600 000 personnes, c’est aussi un des plus anciens.
Un bien trop ambitieux projet est né: celui de détruire ce quartier informel et de bâtir un nouveau quartier d’affaires vert. En revanche, c’est l’Afrique qui détient le records du nombre de bidonvilles, 72.0 % des africains sont mal lotis. En effet ils vivent dans des logements précaires faits de matériaux de récupération, exemple du Soudan où 90 % des habitants sont refugiés dans des bidonvilles (voir carte).
Dans ces logements surpeuplés, et de piètre qualité, majoritairement situés en périphérie des centres-villes, l’accès à l’eau potable est insuffisant et l’insécurité règne. Les risques de perdre son domicile sont grands.
Les agglomérations étouffent sous leur propre pollution, comme en chine, où la situation est plus que critique, avec un nouvel épisode d'intense pollution atmosphérique dans les grandes agglomérations, les urgences environnementales et sociales s'imposent ! Là aussi, enjeux de société, enjeux de générations.
L’avenir, c’est aussi garantir aux générations futures un air respirable.
Depuis quelques jours, un nuage de pollution recouvre la plupart des grandes mégapoles chinoises, au point de réduire