Tvtvvttvthttp://www.arvoituksia.fi/einsteinin-arvoitus/http://www.arvoituksia.fi/einsteinin-arvoitus/Bonjour à tous,

Voici une lecture analytique que j'ai rédigée à propos de d'un extrait L'usage de monde de Nicolas Bouvier (1963).
Voici l'extrait de la relation de voyage : http://www.academie-en-ligne.fr/Ressour … nce-01.pdf (aux pages 81 et 82 du livre)
Voici ma lecture analytique : Voyageur célèbre pour la qualité de ses récits, Nicolas Bouvier (1929-1998) nous narre un voyage entrepris avec son ami Thierry Vernet, dessinateur. L'usage du monde est un livre empreint de la découverte du monde, et de la découverte de soi : découvrir et se découvrir. Il nous est raconté le voyage des deux compagnons, effectué en Fiat-Topolino, de la Yougoslavie à l'Afghanistan, entre juin 1953 et décembre 1954. Or, l'extrait qui nous intéresse se situe au moment où Bouvier et Vernet sont à Tabriz, ville iranienne alors cernée par la neige. Cessant d'être en mouvement, ils sont livrés à l'introspection. Ainsi, nous verrons quelle relation avec le monde est instaurée par l'expérience inédite du décentrement. Après avoir étudié la définition du voyage donnée, nous considérerons les motivations essentielles du voyageur, et que ce sont ces dernières qui installent le débat entre les deux amis, confrontant le voyageur à lui-même.

L'écriture est l'occasion pour Nicolas Bouvier d'apporter une réflexion sur ce qu'est le voyage. Entre narration et essai, l'ouvrage expose ainsi une réflexion personnelle sur l'expérience vécue. Nous pouvons d'abord remarquer que le narrateur est impliqué dans son récit, par les formes de première personne : « je trouvai » (l.1) ; « je le trouvai » (l.10) ; « la mienne » (l.24) ; « me donnaient » (l. 29). Il nous fait ainsi part de son vécu, et d'anecdotes de son voyages, tout en livrant son point-de-vue : « j'aime» (l.5), « je ne voyais guère » (l.22) ; ses impressions : « je ne compris d'abord pas » (l. 13), « cela me paraissait »