Bouc emissaire
Ce corpus nous dévoile son rôle à partir du phénomène, des fonctions du rite et de sa pratique utile et inévitable.
Utilisé au début pour un bouc portant le poids des fautes des citoyens, le terme bouc émissaire est ensuite utilisé pour désigner une personne sur laquelle on fait retomber les fautes des autres. A travers ce rite on perçoit des formes totalement différentes selon les points de vue ou les groupes qui le pratiquent. A titre d’exemple, dans « Le bouc émissaire » de Marie-Claude LAVALLEE, cette liturgie prend la forme d’une mise a mort réel ou symbolique d’un innocent alors que « Le racisme » de Albert MEMMI souligne que immoler, bruler, détruire ou encore stigmatiser est une façon de respecter ce sacrement. Ce protocole a possibilité d’être utilisé sous forme d’exclusion d’une personne souillé et privé d’identité adhère Boris VIAN dans « L’arrache cœur » ou bien sous la forme d’une mise a mort symbolique du chef affirme l’Organisme de formation dans le document de présentation stratégique.
Les formes peuvent donc varié en fonction des personnes qui exerce ce culte ou bien en fonction du choix des victimes. Le choix de la victime expiatoire concerne souvent la personne qui se différencie, se démarque en bien ou en mal. Marie-Claude LAVALLEE reconnaît que la personne à l’ extrême, tant en beauté que en laideur, est celle qui sera sélectionnée. Il peut également s’agir d’une personne haut placé qui mène un projet non aboutit ou dont la finition n’est pas correcte comme par exemple un échec dans une entreprise ou tout un groupe désigne le chef comme le souligne le document de l’organisme de formation. « Le Racisme » laisse entendre que les plus menacés restent les marginaux et les virtueux. Ce corpus