Brouillage générationnel
La jeunesse est devenue un enjeu capital pour comprendre les facteurs qui régissent notre modernité, elle a aussi entraîné un certain « brouillage générationnel » et discrédité la notion même d’adulte, particulièremeent dans nos société ou l’alongement des études et les difficultés d’insertion retardent le passage de l’enfance à la maturité.
En effet, autrefios des rites de passage marquaient le passage d’un age à l’lautre. Par exemple, le service militaire marquait le passage d’un jeune homme à l’age adulte, le mariage ou la naissance marquait le passage d’un ejeune femme à l’age adulte, le premier emploi était considéré comme seuil significatif de l’entrée dans l’age adulte mais de nos jours, les difficultés rencontrées par les jeunes à cause de la conjoncture économique retarde le départ du cocon familial.
La medecine, qui aide à rester jeune, permet même à une femme de soixnate ans de procréer : comment dans ces conditions identifier clairement les générations ?
Cette exaltation de la juenesse caractéristique des dernières décennies a fini par répandere dans les esprots le conviction que passer de l’enfance à l’âge adulte était forcément un déclin.
Obsession de la jeunesse à imprégner les mentalités. Passé un certain age, les employés sont menacés de licenciement car ils sont jugés peu performants. La société entière veut avoir entre 18 et 36 ans. Mais une telle unifomisation n’est elle pas dangereuse ?
Celle-ci risque de conduite à l’ecxclusion des personnes vieillissantes.
Enfin une standardisation culturelle prive une société d'une richesse indispensable à son renouvellement. L’héritage culturel se trouve en concurrence directe avec le smédias avec cette culture imposée