CONCLUTION D’ECRITURE EN GÉNELLE
1. NOMMER ET ÉCRIRE LES ALLÈLES
Les allèles sont des versions d’un même gène
L’écriture des allèles est généralement représentée par une lettre alphabétique qui rend compte de la notion de dominance et récessivité en notant une majuscule pour l »allèle dominant et une minuscule pour l’allèle récessif exemple : A = allèle dominant et a = allèle récessif d’un gène A
2-ÉTABLIR DOMINANCE ET RÉCESSIVITÉ
Pour établir la dominance et la récessivité on dispose …afficher plus de contenu…
soit l’allèle est porté par le chromosome sexuel X alors les hommes présentant le phénotype étudiés sont plus nombreux que les femmes.
6-REPRÉSENTATION DES CHROMOSOMES ET DES GÈNES
Selon le chromosome considéré, le centromère peut être au centre ou vers une extrémité du chromosome. On distingue alors un bras long et un bras court. Lorsque le centromère n'a pas d'intérêt, on peut ne pas le représenter, ce qui allège le dessin.
Lorsqu'on représente une paire de chromosomes homologues, il faut bien veiller à les représenter de la même taille. On choisit souvent de les représenter de couleurs différentes pour distinguer le chromosome paternel du chromosome …afficher plus de contenu…
Dans un arbre généalogique, les femmes sont toujours représentées par des ronds et les hommes par des carrés. La couleur des ronds et des carrés précise le phénotype des individus.
On repère les individus par la génération à laquelle ils appartiennent et leur numéro (ex : individu
II.3).
On dispose aussi d’échiquier de croisement ou «échiquier de Punnett qui permettent de calculer des probabilités d’apparition d’un phénotype dans une descendance et de comprendre la transmission des allèles de génération en