Sequence1 la4 voltaire « l’eldorado »
Intro : contemporain : Diderot, Rousseau, Montesquieu.
Combat : bêtise, intolérance, le fanatisme religieux, la superstition, ignorance. Il a été dramaturge « Inène », essayiste « dictionnaire philosophique, poète « le mondain », conte philosophique « Zadig »
Situation de l’extrait « candide » passage situer au milieu chapitre 18, candide est heureux dans 3 lieux au début ,au milieu à la fin. Contenu : candide et Cacambo arrive en eldorado, utopie parfaite a travers le regard de candide, registre épidictique : éloge de l’utopie et blâme de la société réel (en creux).
Comment voltaire met-il le récit au service d’une réflexion sociale ?
En quoi ce texte est-il un apologue ?
1/l’art du récit.
a)rapidité et vivacité.
Traduit par les temps : présent de narration, le passer simple recourt aussi aux verbes actions, succession rapide d’action (arrivé accueil, visite) rythme syntaxique saccadé grâce aux virgules. Il y a une ellipse temporelle l2
b) Les éléments du merveilleux.
Atmosphère de conte= imaginaire( les 1001 nuits viennent d’être traduites) :les moutons volants, le luxe, la richesse, qualité, quantité, plaisir sensoriel(visuel, gustatif, tactile, auditif, olfactif).Une perfection qui relève de l’indicible (impossible à dire).
c)Le choix du point de vue interne.
Le lecteur découvre l’eldorado à travers le regarde de Candide et de Cacambo (ébloui, stupéfait). « ce qu’ils virent dans le pays d’eldorado » verbe de perception dont C &C sont sujet l35, 40, 38
2/Eloge du monde idéal.
(p) monde parfait, utopique.
a)monde d’abondance et de générosité.
La quantité est omniprésente traduit par le pluriel et les chiffres hyperboliques l4, 10, 19, 36, 41 quantité grâce à la syntaxe avec l’accumulation l35à38 et allitération de « le ».
b) monde de l’esthétique.
Placés sur la beauté=matériaux rares, monde de l’harmonie, équilibre, élégance.
c) monde de valeur morale et politique.
Société parfaite, tout n’est que