Candide ou l'injustice dans candide

840 mots 4 pages
Candide est un conte philosophique écrit par Voltaire en 1759 à Genève, qui appartient au genre narratif. Dans ce conte du siècle de lumière, Voltaire donne vie à Candide, un jeune homme qui vivra toutes sortes d’aventures qui lui permettront de découvrir le vrai visage du monde. Avec Candide, Voltaire a voulu dénoncer les injustices de son époque en abordant la violence, la cruauté et l’absurdité. Dans cette analyse, nous allons aborder des exemples d’injustices dont Candide est témoin au cours …afficher plus de contenu…

Par exemple, Candide décrit les actes abominables commis par les Bulgares dans un village abare : « Ici des vieillards criblés de coups regardaient mourir leurs femmes égorgées, qui tenaient leurs enfants à leurs mamelles sanglantes ; là des filles éventrées après avoir assouvi les besoins naturels de quelques héros, rendaient les derniers soupirs ; d’autres à demi brulées criaient qu’on achevât de leur donner la mort »(chap 3, p. 22). L’utilisation des mots « criblés de coups », « égorgées », « sanglantes » et « demi brulées » se rapporte au champ lexical de l’horreur et du …afficher plus de contenu…

» (Chap. 8, p. 41) Grâce à cette gradation on peut comprendre le degré de détresse envers cette situation. On peut alors déduire que les femmes étaient maltraitées, en plus Cunégonde sera vendu plus tard dans le chapitre. C’est donc par Cunégonde que Candide se rendra compte de cette inégalité. Ensuite, l’esclavage envers les personnes le couleur viendra appuyer l’inégalité sociale. Dans le chapitre 19, Candide rencontre une personne de couleur couché par terre avec une jambe et une main en moins. Candide se rendit compte de ce que les personnes de couleur noir doivent vivre. C’est après avoir vu cet homme que Candide dit : « Ô Pangloss ! […] tu n’avais pas deviné cette abomination ; c’en est fait, il faudra qu’à la fin je renonce à ton optimisme ». (Chap. 19, p. 92) L’utilisation du signe d’exclamation, on peut comprendre que Candide est choqué et étonné par ce qu’il voit. De même qu’à la fin de la phrase on voir qu’il remet en question l’« optimisme » de Pangloss,

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