Cas Samsung
Indentification des parties prenantes impliquée et leurs enjeux.
Au cœur de la cible se sont les parties prenantes décisionnelles
Samsung – rester numéro 1 mondial, satisfaire les consos lorsque la demande est forte (augmentation des volumes de production)
Le sous-traitant et ses usines – Satisfaire Samsung pour assurer leur propre profit et accélérer la production
L’état chinois – faire respecter la loi en matière d’emploi de mineurs
La deuxième partie des personnes intervenantes sont celles qui interviennent mais qui n’ont pas un rôle principal
China Labor Watch (ONG) – contrôle du travail des enfants en Chine, trouver des entreprises qui emploient des enfants
La troisième partie de personnes intervenantes sont celles appelées observatrice ou victime du dilemme auquel nous sommes confrontés
Les travailleurs mineurs – garder leur emploi (avoir un salaire)
La quatrième partie de personnes intervenantes sont le reste du monde
Ou se situe les problèmes éthiques ?
Samsung pour satisfaire la demande des pays occidentaux et notamment lors des pics de vente demande à ses sous-traitants d’augmenter les volumes de production et ceux-ci engagent des mineurs au sein des entreprises.
De plus, Samsung manque d’objectivité car les contrôles d’audit sont effectués chez les sous-traitants et ceux-ci sont prévenus par un informateur de leur arrivée.
Quelles erreurs ont été commises par l’entreprise dans la phase de préparation et d’exécution ?
Non-respect de la législation chinoise et contournement de celle-ci par les sous-traitants (pas de contrats, pas de reconnaissance faciale pour ne pas échanger la ID)
Il y a un manque d’objectivité chez Samsung qui effectue les contrôles d’audit lui-même et des informateurs font passer l’info aux sous-traitants lorsque ses audits sont organisés pour qu’ils se tiennent prêt.
Comment palier ses lacunes ?
Effectuer des contrôles plus rigoureux. S’assurer que les sous-traitants appliquent les procédures de Samsung. Plus de