Cas z cas entreprise
NOTE DE SYNTHESE – CAS Z
➢ Avant le rachat du groupe, une situation d’équilibre entre les parties prenantes.
Lorsque M. Crespo a créé l’entreprise Z dans le Nord de la France à la fin de la seconde Guerre Mondiale, il a profité d’une économie de production fleurissante dans un bassin industriel constitué de partenaires durables (Business to Business) dépendant en partie de la production des métaux de Z.
Dans une France en pleine reconstruction, l’entreprise s’est installée dans une niche de marché (Stratégie de focalisation). Cela lui a permis de dégager des marges suffisamment élevées pour développer plusieurs unités en rachetant de petites fonderies dans différents pays européens sous le même modèle économique stable que la Holding française.
La Holding n’intervient pas dans la gestion des unités sauf pour négocier de gros contrats et assurer la liaison entre chaque unité du groupe. Celles-ci se développent ainsi sous l’apparence d’un groupement de petites filiales à direction autonome dirigées par un management de type paternaliste qui assure un équilibre certain avec toutes les parties prenantes du groupe : fournisseurs, clients et employés faiblement qualifiés mais attachés aux valeurs de groupe.
Jusqu’à la fin des années 1970, l’entreprise affiche une structure flexible et équilibrée comptabilisant une vingtaine d’agences.
➢ Des changements qui ont conduits au rachat du groupe
En fin de carrière, Mr Crespo vend ses parts à une banque qui a considéré que le marché était porteur, avec des opportunités de spéculation (matières premières, devises) qui permettraient d’augmenter les profits.
C’est au milieu des années 1980 que des produits de substitution, tel que le plastique, apparaissent dans l’industrie. Cela va constituer une menace pour l’entreprise Z qui va voir sa rentabilité diminuer.
Afin de réagir à ce