catégorisation sociale
I. introduction
Les catégories sont arbitraires, organisées, hiérarchisées, et dépendantes des relations et normes sociales.
En se basant sur l’actualité politique : en aout 2008 Barack Obama remporte les primaires face à Hilary Clinton et en novembre 2008 Barak Obama remporte les présidentielles face à John Mac Cain.
On va s’intéresser aux catégories primaires qui sont les premières catégories s’éloignant d’être un jeune homme blanc.
Le rôle du sexe, de l’âge et d’ethnie quand on parle des autres.
Le statut social serait un marqueur catégoriel.
Autre exemple : en aout 2005 Madame Michaelle John devient gouverneure générale du Canada : première femme noire à occuper ce poste très honorifique.
Dans son discours elle a précisé qu’elle était d’origine haïtienne que ses ancêtres étaient esclaves, que c’est une femme, qu’elle est noire et qu’elle est mère de famille.
Les catégories se croisent.
Exemple : recherché de Bourhis, R.Y. (2003). Measuring ethnocultural diversity Canadian ethnic studies.
D’avoir été victime de discriminations selon l’origine au Québec et dans le reste du Canada.
Tajfel (1959) effet d’accentuation : augmentation des ressemblances à l’intérieur d’une catégorie. Augmentation des différences avec les autres catégories.
La catégorisation permet de comprendre la discrimination
La catégorisation des autres dépend de nos propres catégories d’appartenance.
Nous cherchons du sens dans la catégorisation
Effet « brebis galeuse » : on a honte de quelqu’un de notre groupe d’appartenance
II. les catégories sont-elles le reflet de la réalité ?
A. la principale fonction des catégories : organiser le monde.
Pour comprendre notre entourage nous allons classer les individus en catégorie nous donnant ainsi des informations sur eux véhiculé par les stéréotypes.
Le fait de pouvoir regrouper les stimuli venant de l’environnement va nous permettre d’organiser notre monde.
On va choisir un