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En effet on ne considère pas qu’une traduction est réussie sauf si le texte parait semblable à une copie conforme à l’original, sauf s’il parait non traduit, sauf s’il prononce notre langue, concerne notre soi et appartient à notre culture.
On vise même que la traduction soit de la conformité de manière à ce qu’elle représente vraiment ce qu’apprêtera l’auteur à écrire s’il envisage de s’exprimer en langue traduisant et on demande au traducteur d’écrire le texte au nom de son écrivain qu’il l’écrive sans qu’il le signe on lui demande d’éclipser son nom afin de permettre à l’écrivain d’origine de parler une autre langue sans perdre pour autant son entité.
C’est une traduction qui réduit l’écart entre l’auteur et le traducteur et met fin à la différence entre la langue d’origine et la langue traduisant. Elle vise même à ce que l’effet du texte traduit sur tout nouveau lecteur soi t identique à celui produit sur le récepteur du texte d’origine.
C’est bien donc une traduction, qui nie le fait qu’elle en soit une et cherche à présenter un texte qui parait non traduit, un texte qui efface l’acte traductif un texte ou on ne sent pas l’odeur de l’autre langue, l’odeur de l’étranger, l’odeur de l’étrangeté, l’odeur de l’altruisme, l’odeur de l’autre, l’odeur de la différence.
Cette situation met en évidence le fait que les textes restent des entités préserver s’ils ne prennent pas contact avec la traduction qui les incitent à sortir de leur soi a s’ouvrir sur l’autre, on suppose qu’une langue reste unique et unis jusqu'à ce quelle prenne contact avec la traduction et détruit ainsi la tour de Babel et l’incite sur la pluralité.
Il reconnaît que l'écriture ne comporte pas d’étrangeté en soi et que les