Cher Journal
Cher journal
Il y a 3jours, ils sont venus me chercher pour m’emmener dans ce camps , ils m’emmenaient dans une destination complètement inconnue pour moi. Je n’ai presque pas eu le temps de prendre mes affaires, mais heureusement j’ai réussi a prendre mon journal intime et un stylos pour t’ecrire. Quand je regarde le camps c’est un immense immeuble en forme de fer a cheval argentée dans lequel sont enfermés des milliers d’hommes, de femmes, d’enfants, de vieillards et même des invalides, les Juifs internés sont parqués à 50 ou 60 par chambrée..Cette nuit je n’ai rien dormi , j’entendais les enfants pleurée. En guise d’alimentation, on recoit chaque jour deux cent cinquante grammes de pain et trois soupes bus dans des récipiants qu’on partagent a plusieurs. On a tous peur ici , certains le montre moins que les autres.nous n’avons aucune activités sauf les corvée exigée pour l’entretiens du camps.
Le 19 septembre 1941, A Drancy
Il est six heures, je viens de me faire réveiller par un gardiens qui tapais au solgrands bâtons de bois. Il est très grand, d’une laideur indescriptible.il nous reveille pour faire l’appel pour voir s’il ne manque personne , sa prend tellement de temps, j’ecoute attentivement pour entendre s’il dit le prenom d’une personne qui m’est familière , ou mon prenom.Les plus faibles ne sortent de leur chambrées que pour l’appel , qui rythme la journée , une ou deux fois par jour. Cette nuit encore je n’ai pas réussi a dormir, j’ai pourtant essayer mais avec ce froid et sans couverture c’est tres dur de parvenir a sendormir .J’entendais les grand meres se plaindre toutes la journée. Un camarade de chambrée a eté condamner a passer quelque jours de cachot pour cause d’indicipline.