La greffe de cœur artificiel est étudiée depuis quelques années et a connu de nombreux problèmes. Mais si elle venait à pouvoir être utilisée ce serait un remède et une avancée très importante pour la médecine et le manque de cœur. En effet, le cœur serait en quantité suffisant pour réaliser toutes les demandes de greffes.
Le cœur artificiel est, depuis la fin des années 1950, soumis à de nombreuses recherches et expérimentations. Les premières expérimentations ont été réalisées sur un chien avec un simple cœur artificiel en plastique. Les suivantes furent réalisées sur des hommes en dérivation à partir de 1962. Mais elles furent toutes des échecs et cela freina la recherche sur cette innovation. Il a fallu plus de vingt ans pour qu’une autre greffe soit réalisée aux Etats-Unis. Ce fut une implantation, sur un homme, constituée de deux parties : une interne et l’autre externe. Le patient a survécu durant 112 jours. Depuis ce jour, seules quelques greffes ont été réalisées et ont donné lieu à des échecs. Comme avec l’essai du prototype abiocor, testé sur 14 personnes entre 2001 et 2004 qui a condui à 2 morts et 12 personnes qui ont survécus durant 5 mois. En effet, le cœur artificiel est un projet en cours de réalisation s’appuyant sur les échecs précédents comportant toujours plus d’innovation.
Aujourd’hui, les innovations sont toutes diverses et variées et conduisent à des prototypes toujours plus performants menés par des sociétés différentes qui rentrent ainsi en concurrence. Nous étudierons le prototype de l’entreprise Carmat. Carmat est une société française dirigée par le professeur Carpentier et M. Lagardère. Son objectif est de créer la première bio prothèse automatisée et indépendante. Leur projet est d’arriver à un cœur artificiel total. Leur élaboration est composée d’éléments mécaniques et électroniques miniaturisés, très techniques, et des matériaux biocompatibles. En effet, il y a l’utilisation de la mécanique et de l’électronique.

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