LA MAISON DE CLAUDINE .
Colette

1,
Les propos du discours direct (les deux premières paroles/tirets) sont prononcés par Colette à propos de deux de ces amies 'm'a dit une amie'. La modalité de phrase dominante est la modalité interro-négative « elle ne coud pas ? » ; « elle ne sait pas coudre ? ». Colette et ses amies les utilisent pour abaisser sa fille et la faire rendre compte qu'elle est en retard par rapport aux autres filles. C'est aussi, surtout de la part de ses amies, un signe péjoratif.

2,
La première comparaison appliquée à l'enfant est « bien qu'elle ressemble d'avantage...? ». le fait qu'elle soit comparée à un mousse (qui est un homme), l'oppose à la petite fille idéale, de plus le composant …. ? oppose aussi le travail supposé de finesse, celui qu'il est demandé à un travail grossier de raccommodage d'un mousse. Cette comparaison est établie par sa mère nous révèle qu'elle subit un gros décalage et n'est pas une petite fille appliquée dons qu'elle n'apprécie pas que sa fille couse.
Ce décalage est renforcer par que sa tenue vestimentaire et l'attitude de son corps ne sont pas celle d'une couturière.

3,
L'enfant qui lit est definit par l'image « elle revient toute égarée et le feux aux joues de l'ile au coffre et orphelin » : elle vit une aventure extraordinaire.
L'enfant qui dessine par l'image « si elle dessine une chanson a demi parlée srt d'elle initerrompue comme la voix d'abeille qu'exhale ce poème (un travailleur qui prend du plaisir « exhale » dans ce qu'il fzt=ut). Bourdonnement de mouche, refrain de la fileusee au rouet « quand elle dessine bel-gazou prend du plaisir zr chante comme ces travailleurs dans leur travil.

4,
La narrative singularise la couture par rapport aux autres activités par le terme « piquette » qui est répété deux