Les sociétés enregistrant ce style de ségrégation doivent mettre en place des moyens de lutte. Il est vital de rétablir du lien social et rassembler des personnes appartenant à des groupes sociaux différents.
La mixité sociale à l'école est un moyen de mettre en contact des enfants d'origines culturelles et sociales différentes pour que l'école reste un lieu d'égalité et un modèle d'ascension social pour tous.
Dans le milieu de l'entreprise, le CV anonyme permet de mettre en avant les compétences du candidat en mettant de côté son origine ethnique, son lieu d'habitation, son âge et son physique.
Les politiques doivent instaurer une justice équitable en promulguant des lois contre le racisme et en faveur des personnes discriminées victimes d'actes de xénophobie. Il est essentiel que les individus concernés puissent se faire aider.
Il faut faire connaître la HALDE, c'est à dire la Haute Autorité de Lutte contre les Discriminations et pour l’Egalité et lui donner les moyens d'agir pour faire reculer les discriminations.
Étymologie[modifier le code]
Le pamphlétaire Gaston Mary, collaborateur à La Libre Parole, le journal d'Édouard Drumont, est la première personne connue à avoir utilisé le mot « raciste » en 18944,5,6, selon Charles Maurras7.

Toutefois, l'adjectif « raciste »8 et le nom « racisme » ne s'installent dans le vocabulaire général en France qu'à partir des années 19309. Le premier auteur qui semble avoir utilisé le mot « raciste » est Léon Trotsky en 1930 dans son Histoire de la révolution russe, avec un sens culturel pour qualifier le groupe des Slaves traditionalistes qui défendaient leur culture et leur mode de vie national10. Les deux mots font leur entrée pour la première fois dans un dictionnaire français, dans le Larousse en 193211.

Idéologies, perception et pratique[modifier le code]
La littérature met, au xixe siècle, en avant le caractère pluridimensionnel du racisme. On peut distinguer :

Sa dimension conceptuelle et idéologique