Nous pensons tous que le Bonheur réside dans les fêtes, la joie de vivre les soirées entre amis. Elle constitue plusieurs petits moments gravés dans nos mémoires qui constituent notre joie habituelle. Cependant, cette joie habituelle est vite rattrapée par la vie, la routine qui nous stresse qui nous dévore chacun partielle de ce petit bonheur. Alors le bonheur ne serait-il pas éternelle ? Serait-il une denrée de plus en plus rare ? Connaissons-nous ce qu’est le bonheur ? Voilà les questions qu’Aristote essaya d’y répondre.
Qu’est-ce le bonheur ? Voilà ce qu’Aristote veut répondre. Pour lui le bonheur est se trouve dans une vie pleine de vertu. Il soutient que la vie reposée et l’amusement ne peut donner une quelconque forme de bonheur. En certains points il a raison puisque ce bonheur est loin d’être éternel. Pourtant la vie pleine de vertu nous efforce à vivre en agissant pour le bien ce qui est un effort continuel vu la nature de l’Homme. Cette vie n’est en aucun cas reposante.
Donc dans son texte nous verrons d’abord comment Aristote attaque la thèse adverse; puis nous verrons par l’exemple d’Anacharsis comment il explique ce qu’elle est; et enfin nous verrons sa thèse et ses arguments.
Au début de son texte Aristote commence par attaquer la thèse stipulant que l’amusement permet le bonheur. « Le bonheur ne consiste pas dans l'amusement » dit-il. Il le démontre en faisant travailler notre logique. Il dit alors que le bonheur ne se situe pas dans l’amusement car l’amusement ne peut être le but de la vie. Selon lui « cela parait aussi par trop insensé et par trop puéril ». On ne peut donc obtenir le bonheur de cette façon car la vie n’est pas faite pour l’amusement. Ceci n’est qu’un état dans la vie suite à des actions alors que le bonheur est le but de la vie. Ce qui n’est pas faux. S’amuser c’est bien pourtant on ne peut s’amuser éternellement. On finit par s’arrêter car dans la vie en société on ne peut vivre qu’en s’amusant. Sauf si nous vivions dans le