Commentaire composé jean rouaud extrait sur l'averse
(1990), Jean Rouaud met en avant les différentes allures de la pluie. Il s’agira donc dans ce commentaire de s’intéressé aux diverses formes d’évoquer l’averse. En utilisant de multiples figures de style l’auteur fait de grand choix d’écriture qui vont nous permettre d’éclaircir la compréhension de ce texte.
Comment Jean Rouaud à mis en scène la pluie dans cet extrait ?
Pour répondre à cette question nous allons tout d’abord voir la manière dont l'auteur métamorphose la pluie en musicienne, puis dans un second temps nous étudierons le champ lexical de la joie lié à l’averse et pour terminer nous verrons comment l’auteur divinise la ville de Nantes sous la pluie.
Le travail sur la « richesse rythmique de l’averse » (ligne 1) et les sonorités crée une harmonie musicale, les assonances et les allitérations décrivent le bruit de l’averse sur les toits (ligne 3) et le sifflement de pneus d’autobus dans les flaques (ligne 14), on peut noter l’utilisation d’une métaphore filée. De plus le texte nous appelle à une seconde lecture pour que nous soyons apte de percevoir que la pluie inanimé devient animé en ayant « un talent d’accordeur » (ligne 3) et une « une précision de graveur » (ligne 8).
Personnifié l’averse devient artiste en étant accaparer de certains talent de musicienne. L'auteur offre au lecteur un réel spectacle.
Ce serait un paradoxe d’affirmer que l’averse est synonyme de gaieté, mais Jean Rouaud n’hésite pas à l'acclamer en s'appuyant sur des expréssions comme « humeur toujours sautillante »
(ligne 4) ou des verbes comme « rebondire » (ligne 1). De plus le choix d’écriture qu’il adopte peut parfois prêter à confusion. Nous pouvons prendre pour exemple le mot « rigole » (ligne 2) qui fait partie du réseau lexical de la joie mais qui à la fois est un petit canal creusé par la pluie. Pour nous surprendre davanrage, l'écrivain