Le personnage principal de cet extrait, Adrien Deume, est perçu en plein mouvement. L’extrait étudié est peuplé de verbe d’action qui donne cette impression : « Il retira la clef du contact, s’assura que les vitres étaient bien relevées, sortit, ferma la porte à clef… » L.4-5 L’auteur nous introduit dans l’action, en utilisant le passé simple et donc en ne racontant pas l’histoire mais en nous la faisant vivre. L’auteur construit de courte phrase et fais des énumérations d’action ou de fait ce qui renforce la vivacité du texte : « Dans trois jours, le premier juin, membre A à vingt-deux mille cinq cent cinquante balles-or comme début avec augmentations annuelles jusqu’au plafond de vingt-six mille ! ». L.12-13.14 Il pose aussi des questions au lecteur pour lui donner l’impression qu’il est inclut dans l’histoire : « Pas à dédaigner hein ? » L.15 Il utilise la focalisation interne pour montrer au lecteur toutes les pensées du personnage et rendre le texte plus vivant car il contient plus d’information. Plus l’auteur donne des informations sur le personnage, plus le lecteur arrive à l’imaginer et le texte devient donc plus réel et vivant. « Arrivé dans le hall il se dirigea d’un air indifférent vers le tableau des mouvements du personnel… » : l’adjectif contenu dans la phrase donne plus de précision sur le personnage et le lecteur à plus de facilité à l’imaginer parce qu’il connait son attitude et ses pensées. Se rajoute à cela les signes de bonheur que manifestent le personnage : « …il s’en fut d’un pas guilleret. » L.10 Le personnage est « ébloui et transpercé » ce qui donne au portrait de la vivacité car le personnage est vu joyeux et non maussade. Ca donne un texte vif qu’on a envie de lire, un texte éclairé de bonheur. Et le faite que le personnage soit vu de bonne humeur et ayant de l’énergie donne une bonne impression au lecteur qui a envie d’en savoir plus sur ce personnage alors qu’un personnage triste ne donne pas envie d’être connu. Un