Commentaire composé sur le chef d’œuvre inconnu de balzac, p.40 « le vieux frenhofer… » à « … les brosses à la main. »
Dans un premier temps, nous pouvons observer la figure de l’artiste dans cet extrait. En effet, nous pouvons tout d’abord remarquer que Balzac représente les deux artistes, Mabuse et Frenhofer, comme deux stéréotypes de la profession. Ainsi, Balzac utilise le terme de « vieil ivrogne » à la ligne 13 pour parler de Mabuse, puis il relate une anecdote où celui-ci « ayant vendu et bu le damas à fleur avec lequel il devait s’habiller à l’entrée de Charles Quint, il accompagna son maître avec un vêtement de papier peint en damas. » à la ligne 8. L’artiste est souvent associé à l‘alcoolique, car la boisson permettrait l’inspiration, dans la peinture, comme l’artiste Maurice Utrillo, peintre du XX e siècle, ou encore de nombreux écrivains, tels Paul Verlaine, Charles Baudelaire ou encore Edgar Allan Poe. De plus, F. Porbus nomme Frenhofer « vieux Frenhofer » à la ligne 1 et Mabuse « vieil