Commentaire de l’extrait de l’enfant noir de camara laye
L’Enfant Noir est l’un des premiers romans Africains, écrits en langue française, à avoir eus un sucée, ainsi qu’une reconnaissance en dehors du continent, il devient même plus tard l’un des classiques de la littérature francophone, depuis sa publication en 1953. Ecrit par Camara Laye, de son vrais nom : Kamara Abdoulaye, écrivain guinéen, de confession musulmane, l’aîné dans une famille qui compte douze enfants, une famille qui a su concilier foi musulmane et traditions africaine. Il passe son enfance et fait ses études à Kouroussa, sa ville natale et aussi celle ou se déroule l’histoire du roman, puis il va au collège (Poiret) à Conakry, la capitale du pays. Plus tard à l’âge de 19 ans grâce à une bource d’études il part étudier en France, ou il avait écrit sa première œuvre, L’Enfant Noir.
Dans cet extrait à l’étude, l’auteur nous raconte l’un des chapitre de sa vie d’enfant, ou nous peint une vie heureuse au saint de sa famille de forgerons respectés, il décrit avec précision les moindres détails qui caractérisaient les objets qui décoraient le paysage ou vivaient et travaillaient ses parents, la concession de son père et décrite comme un endroit chaleureux et plain de vie, un endroit ou il passait le plus clair de son temps, pré de la case de son père à jouer et à faire des bêtises, comme le ferai tout enfants de son âge. Puis il nous décrit le comportement protecteur qu’a sa communauté à son égare, et notamment sa mère, lorsque il a approché de trop pré un serpent dangereux, sans être conscient du danger que il représentait pour sa vie, et aussi un père avec une image emblématique à ses yeux à qui il vouait toute son admiration. Ainsi l’auteur nous présent une scène d’une vie équilibrée, chaleureuse et harmonieuse.
En lisant cet extrait on décèle l’aspect autobiographique du récit, à travers les descriptions détaillées et l’omniprésence du (je) tout au long de l’extrait. Ou la mémoire joue un grand