Commentaire du septième livre des aventures de télémaque de fénelon
Tout d’abord, Fénelon décrit les conditions climatiques idéales du lieu. «Les hivers y sont tièdes», «l’ardeur de l’été y est toujours tempérée». Ensuite il parle des vents de la Bétique: les «aquilons», autrement dit les vents du Nord, n’y soufflent jamais et les «zéphyrs», des vents doux, qui rafraichissent l’été. Toutes ces indications sur le climat montrent que la bétique est un pays où il fait bon vivre, et l’auteur nous le prouve une fois de plus grâce à la métaphore : « toute l’année n’est qu’un heureux hymen du printemps et de l’automne ».
Ensuite, la Bétique est une terre riche où la nature est présente et florissante : «Bordés de lauriers, de grenadiers, de jasmins et d’autres arbres toujours verts et toujours fleuris», ce pays dispose de surcroit de beaux paysages. De plus, on y trouve des «Troupeaux, qui fournissent des laines fines recherchées de toutes les nations connues». Enfin, le sol de cette terre est riche de métaux précieux («or», «argent») qui révèle la richesse du pays. Ce pays est donc présenté comme un