Commentaire erasme
Premièrement, nous allons nous pencher sur la naïveté de l'Homme, à travers la narration de la déesse de la Folie. Nous pouvons déjà constater que toute la population est confondue, car les pronoms utilisés sont indéfinis : "ils, on, celui, ceux". De cette façon, Erasme regroupe toutes les parties de la population. Et donc les personnes les plus riches considérés comme les plus instruites et intelligente, sont aussi crédules. Dans cette première partie du texte, il critique la manière de penser des Homme. Il leur reproche implicitement d'être trop sur d'eux et de chercher à se blanchir de leurs fautes. "Que dire de ceux qui se bercent agréablement de pardons imaginaires accordées à leurs crimes […]". Il insinue aussi que leur pardons sont fictifs et donc ne valent rien. Il dénigre les actes spirituals des Hommes, qui pensent pouvoir tout obtenir grâce à ça : "Et de ceux qui s'appuient sur certaines petites formules ou pierres magiques qu'un pieux imposteur à inventées pour son plaisir ou son profit […]". L'oxymore utilisée met en contradiction le mot "pieux" et "imposteur". Ainsi, il décrédibilise le "magicien". Cette opposition fait ressortir la superficialité des actes des Hommes qu'ils commettent dans le but de se déculpabiliser. Le reste de la phrase "Richesses, honneurs,