Commentaire guy de maupassant
On observe que le brouillard est présent dès le début et est introduit par une locution conjonctive « cependant» qui laisse supposer que cette nuit sur l'eau aurait été normal voir agréable si il n y avait pas eu le brouillard «cependant la rivière s'était peu à peu couverte d'un brouillard» , de plus ce brouillard est qualifié «d'épais» voir même de «très épais» . ce brouillard «rampe» on peut penser aune créature fourbe tel un serpent . De plus il est repris tout au long du texte , tantôt sous forme de métaphore « une nappe de coton», tantôt avec un synonyme « brume» mais toujours accompagné d un adjectif qualifiant l'épaisseur « d'une blancheur singulière» , «opaque», «épaisse» . Ce qui qualifie qu'il n'est pas anodin .
Effectivement c'est lui qui apporte l'angoisse . A cause de lui on ne voit ni en dessous , ni devant sois , ceci est exprimé pas une énumération «ni mes pieds , ni mon bateau», il y a une impression d'étroitesse , qui s'accentue avec la comparaison « comme enseveli jusqu'à la ceinture» . Le personnage est donc bloqué , prisonnier du brouillard . On a l'impression qu'il est enfermé , et c'est de là que monte une partie de l'angoisse . Cela fait penser a un syndrome de claustrophobie .
Nous pouvons penser que le personnage cède à l'angoisse « il me venait des imaginations fantastiques» qui sont en fait ces peurs . Les ombres se métamorphosent en « grandes tache noire» . . Cette angoisse est psychique mais aussi physique . Grasse a un point de vue interne il souligne les signes de panique qui se passe en lui ainsi il éprouve «un malaise horrible » accentué pas une hyperbole