Commentaire hedda gabler, ibsen
Tout d’abord, Hedda emploie l’impératif pour forcer Hedda à s’asseoir « venez » (l.1). Théa ne semble pas de cet avis et souhaite partir ; elle semble agitée à l’idée de rester et de parler à Hedda « regardant sa montre avec angoisse « (l.4) qui la retient chez elle « ça ne presse pas » (l.6). Hedda essaye alors de se justifier et de mettre à l’aise son hôte en l’invitant à parler « en toute confiance » (l.1) et en se réservant la place la moins confortable, le tabouret pour installer Théa dans le fauteuil. Ce meuble instaure un climat de