Commentaire: les liaisons dangereuses
Dans le récit de Choderlos de Laclos, écrivain et officier militaire du XVIIIème siècle, il met en action une femme, Madame de Merteuil, et un homme, le Vicomte de Valmont. Dans cet extrait des liaisons dangereuses, le Vicomte tente de mettre en garde, Madame de Merteuil, contre les dangers d’une liaison avec un célèbre libertin…
Comment Choderlos de Laclos se sert-il de son œuvre pour évoquer un thème polémique à l’époque ?
Tout d’abord nous évoquerons qu’il s’agit le roman épistolaire et l’affirmation d’une femme puis nous verrons qu’a travers son œuvre l’auteur fait l’éloge du libertinage.
Dès les premières lignes du texte nous pouvons distinctement voir que cet ouvrage par l’utilisation de nombreux pronoms « ma ; mes ; me ; je ; j’ ; miens ; vous », une quarantaine parmi les 35 lignes, est une lettre. De plus nous remarquerons qu’il y a deux personnes importantes. L’expéditeur qui par des indices tels que « vous m’avez vue » ; « garder vos conseils et vos craintes pour ces femmes » ; « Mais moi qu’ai-je de commun avec ces femmes » ; « je me suis prescrites » ; « ou, fille encore, j’étais vouée … » nous montre que ce dernier est une femme, en l’occurrence ici Madame de Merteuil. Cette femme qui est différente des autres, « qu’ai-je de commun avec ces femmes inconsidérées ? », qui a subi un changement, « Entrée dans le monde dans le temps ou, fille encore, j’étais vouée par l’état au silence et à l’inaction », et qui n’a pas l’air de croire en dieu « elles … ont pour le Prêtre, le respect et la foi qui n’est dû qu’à la Divinité.», mais qui a quand même du respect pour les religion , en mettant un « D » majuscule à divinité. Par l’usage de pronoms à la première personne « je ; m’ ; ma ; mon », de ponctuations fortes : interrogations « …qu’ai-je de commun avec ces femmes inconsidérées ? », déclarations, des exclamations « Ah ! ». Elle nous fait également part de ses sentiments notamment, quand elle dit «