Commentaire littéraire chap 39 "le dernier jour d'un condamné"
Souffrance, maitre mot du condamné. Un supplice perpétuel l’entrainant à penser, penser à la vie, aux choses, puis plus les jours avancent, plus il se rapproche de sa fin et ses pensées se détournent peu à peu vers ce qui l’attend : l’échafaud. Le protagoniste s’interroge, sans cesse, tel un cercle vicieux ; des questions et des questions, des questions à rendre fou ! En effet, le condamné n’attendant plus que la date de sa mort, ne sachant pas si c’est de l’impatience ou de la peur qui le guette, se questionne… Et contrairement à l’idée que se font les magistrats, le prisonnier ne se repentit pas sur son crime, loin de là, il réfléchit à sa