Commentaire littérair les contemplations
1, le schéma d’une vie.
[L’extrait montre l’allégorie de la vie] [D’abord, il nous montre le schéma d’une vie]. La vie est constituée de trois parties bien caractérisées par leur propre champ lexical. La première partie représente l’âge de toutes les folies, soit, l’adolescence et la jeunesse. La deuxième partie annonce la mise en couple « deux-à-deux », c'est-à-dire, le début de la plus longue période de la vie, l’âge adulte. Mais l’auteur évite cette période, la contourne et la compare à de la musique « la musique, notes, l’archet » qui représente la tranquillité, la douceur, comme la musique que produit le violon. Dans la mesure où tout ce qui vit doit mourir un jour, la fin de cet extrait annonce la mort « feuilles mortes des cieux », et ainsi le termine par une touche de tristesse.
2, une folle mécanique
[Ensuite, il décrit une folle mécanique]. Cette folie est déterminée par le champ lexical du mouvement de la vie « fuite, cavales, galops, effrénés, courent, par intervalles, reprend haleine, s’interrompt, fuit ». Elle représente l’ivresse de l’adolescence et de la jeunesse. Pendant cette période, la recherche du divertissement est sans cesse présente. Les rejets « revient », les contre-rejets « par intervalles, et l’archet » et le balancement du rythme soulignent la rapidité et la frénésie de l’extrait.
3, le temps : c’est une danse macabre.
[Enfin, le temps s’impose est la danse devient macabre]. L’expression « deux à deux » marque la fin de cette période de folie. Le temps rattrape le texte. Le champ lexical du temps apparait « éloigné, revient, heure, rapides soirée, nuits et jours ». Il est prédominant à la fin du