Commentaire "louis aragon le musée grévin"
En 1940 la France est battue et envahie par les soldats allemands et le pays est dévasté. Tout d’abord le pays est complètement dominé pas les allemands, Aragon ne cesse d’utiliser des métaphores désignant les allemands comme des êtres puissants et terrifiants : « un pays en tous sens parcouru d’escogriffes », « Un pays de frayeur en proie aux loups-garous ». Mais Aragon utilise également du vocabulaire péjoratif afin de dévaloriser les soldats : « fantoches », « usurpateurs », « ânonnent »… Puis le gouvernement qui devrais aider la population ne fait que coopérer ce qui n’aide pas la France à se relever pour organiser une riposte : « Et la meute sur lui grouillante qui le mort et les valets sonnant dans le cor la curée ». De plus la population agonise, est assujettie, et trainée plus bas que terre. Aragon va même jusqu’à la comparer avec du bétail puisque c’est comme cela qu’elle est considérés: « chassant le bétail devant eux ». Elle subit le travail forcé et la prison : « J’écris dans ce pays où l’on parque les hommes dans l’ordure et la soif le silence et la faim ». Elle est complètement perdue face aux désastres qu’elle doit affronter : « Des acteurs ont perdu leur chemin leur sommeil et leur rang ». Comme si tous ces maux ne suffisaient pas, le français doivent encore subir la maladie et les aléas du temps : « un pays dévasté par la peste », « Sous le ciel sans pitié des jours calamiteux ». Mais le pire qu’ils ont à subir est la