Commentaire loup et l'agneau
Introducion Ce corpus est constitué de trois textes argumentatifs. Nous avons premièrement un extrait du 3e livre de Les Confessions de Jean Jacques Rousseau (recueil autobiographique de l’auteur), ensuite un extrait Jacques le fataliste et son maître de Denis Diderot (notons que ces deux auteurs sont du 18e s et ont participé au mouvement des Lumières). Le troisième texte est un extrait de l’oeuvre poétique de Raymond Queneau (poète et romancier du 20e s), Battre la campagne . Il s’agira ici de montrer en quoi ces textes s’appuient ils sur un registre comique . developpement Les confessions sont surtout basées sur le comique de situation, en effet le jeune homme interrogé par le comte de Gouvon était sensé finir le plus glorieux dans ce repas puisqu’il a fait preuve de belles paroles à l’égard de la devise des Gouvons( qui avait été critiqué par sa soi disant faute d’orthographe). Seulement, en s’approchant de mlle de Breil il se sent géné et se met à trembler, il renverse donc de l’eau , ce qui le ridiculise. On a doncun renversement de situation. Nous sommes aussi en présence du comique de langage « cette personne si dédaigneuse daigna » l.14 tout comme dans Jacques le fataliste et son maitre, où l’on fait face à une longue métaphore pour parler de sexualité (de la l.4 à 16), ainsi que dans Le peuplier et le roseau où l’emploi du niveau de langue est parfois très familier « remuer les hanches » l.3, « se casse la gueule » l.9 .Dans cette fable, le fanfaron est en fait le roseau puisqu’il gagne sans gloire. Dans Jacques le fataliste et son maître, il y a un effet de connivence avec le lecteur. Il y a aussi une repetition de termes qui renvoient les deux protagonistes dos à dos « se prirent de querelle » l.4, « ce n’est pas là ce que vous m’avez promis » l.7, « ce débat » l.8 . Jean Jacques Rousseau porte dans son texte un regard