Question sur corpus

Nous allons étudier un extrait des Essais, écrit Par Montaigne pendant le mouvement humanisme en 1595, nous avons choisis un deuxième texte qui est un conte, il s’intitule La Belle et la Bête, il a été écrit par Jeanne Marie Leprince De Beaumont en 1757 pendant les lumières. Dans leur discours argumentatif, les deux auteurs évoquent la monstruosité tout en gardant des qualités sur ces monstres. Nous nous interrogerons sur comment les auteurs nous réfléchir sur l’humain.

Dans ces deux textes, les deux auteurs évoquent la monstruosité. Dans l’Essais de Montaigne, il évoque cet enfant étrange, qui ressemble presque à un monstre et ces citation nous le montre : « étrangeté », « un bras plus court que l’autre ». Dans La Belle et La Bête Jeanne Marie LePrince de Beaumont évoque la monstruosité avec le personnage la Bête, comme nous montre ces citations : « lui dit le monstre» ; « la colère du monstre ». Les deux auteurs mettent en scène un personnage qui ressemble à un monstre pour critiquer l’Homme et le dénoncer. Montaigne critique l’Homme car l’Homme a peur de la nouveauté et donc la classifie de prodige et parfois comme dans ce texte de monstre. Dans le texte la Belle et la Bête, l’auteur veut dénoncer aussi l’Homme, car la Belle nous dit qu’il « y a bien des hommes plus monstres que vous » et donc que l’Homme juge sur les apparences. Les auteurs parlent d’un monstre mais tout en atténuant leur défaut ou en leur ajoutant des qualités, dans l’extrait des Essais, Montaigne atténue l’étrangeté de l’enfant en le comparant aux autres enfant, comme dans l’expression « comme les autres enfants du même âge » ou encore il essaye d’atténuer les étrangeté de l’enfant en les comparant à la normalité, où nous pouvons le remarquer dans cette expression « qu’il urinait par les deux endroits». L’auteur de La belle et la Bête évoque la même chose mais en lui ajoutant des qualités, qui le rend donc moins monstres que certains hommes, nous pouvons le voir