Commentaire martin sommer de l'origine de la violence de fabrice humbert
Marlène
1ere S1
Commentaire littéraire
Fabrice Humbert est un écrivain français du XXIe siècle. Il est également enseignant dans un lycée franco-allemand et auteur de plusieurs roman dont L'origine de la violence, qui raconte l'histoire d'un jeune professeur qui, lors d'une excursion au camp de concentration de Buchenwald en Allemagne, découvre une photographie où figure un homme a la ressemblance troublante avec son père, c'est a partir de là qu'il enquête pour retrouver l'identité de cet homme, et, sans le vouloir, va découvre plus de choses qu'il ne l'espérait... C'est un extrait de cet œuvre que nous allons étudier. Cet extrait porte sur le médecin du camp, Martin Sommer. Et raconte ce qu'il y faisait. Nous nous demandons donc comment Fabrice Humbert essaye-t-il de communiquer aux lecteurs l'atrocité des faits de ce médecin ?
Pour y répondre, une première partie portera sur le côté sombre et violent du texte, puis une deuxième partie traitera plus son côté humain.
Pour commencer, nous pouvons dire que passage de l'Histoire est atroce. L'Allemagne nazie a fait couler beaucoup d'encre, et on ne cesse jamais de raconter les horreurs qui s'y sont passées. Cet extrait de texte en est un minuscule fragment, et a travers ce portrait, on peut déjà mesurer l'ampleur du mal, de la souffrance.
On note d'ailleurs le champ lexical du mal, de la mort, omniprésent tout au long du texte. « terrifiants »(l.2) ,« abattre »,« coups »(l.8), « victime », « sang » (l.9), « haine »(l.10) ,« arrachés » (.11) ,« rageur » (l.14), « châtiment » (l.15), « infirmité » « mort » (l.16), « prisonniers amaigris » (l.18), « souffrants » (l.20), « faibles » (l.21), « sceau du mal » (l.24), « mal » (l.25), « monstre » (l.26), « atrocités » (l.33), « violents » (l.35) « tuait » (l.40) , « furieusement » (l.43), « sadisme affreux » (l.46), « assassinait » (l.51), « martyre » (l.53), « frappant » (l.53), « plaies » (l.54) etc.
De plus, l'auteur le décrit presque