Commentaire Paysage
I – Paysage réel de la vie de Paris
1 – Les lieux
Le poète habite en hauteur dans une « mansarde » (v5), situé face à la fenêtre→ permet de faire découvrir le paysage qu´il voit : Paris du 19e s. Monde industriel par « atelier » (v6), la métonymie: « tuyaux » (v7), métaphore: « mâts de la cité » (v7) → renvoie aux chemines de la cité, « clochers » (v7) → édifices religieux 2 – Les activités
Paris→ ville qui travaille : proposition subordonnées relatives : « qui chantent et qui bavarde » (v6) qui est aussi une personnification→ renvoie au bruit, à l´activité des usines de l´industrie.
Rythme régulier du v6: 6/3/3 → Rythme de l´usine est constant, monotonie de l´activité. Industrielle, travail à la chaine
-Vie quotidienne: « lampe à la fenêtre » (v10), « mansarde » (v5)
-Agitation sociale et politique : allégorie dans: « Émeute » (v21) → mis en valeur car placé en début de vers
Ville : vie quotidienne, bruits des usines → vie familière au poète → vie réelle
Transition : Le poète passe du paysage réel qu´il voit a un paysage transformé par sa perception II – Paysage transformé 1 – Idéalisation du paysage Paris idéalisé : « rêver d´éternité » (v8)
Transfiguration au réel dans 1ere strophe : bruits de l´usine se transforme en chants. Son des cloches qui annonce le quotidien se transforme en hymnes, de la musique : « Leurs hymnes solennels emportés par le vent » (v4) répétition du son [en] → marque la solennité, idée de grandeur. Bruit des cloches devient musique avec un rythme binaire
=perception agréable du monde. 2 – Perception visuelles « Mâts de la cité » (v7) assimilés à mâts des bateaux
Métaphore connote la découverte, l´évasion, l´aventure.
Sensations visuelles : « brumes » (v9) → fumée de la nuit
Métaphore: « Les fleuves de charbon […] enchantement » (du vers11 au vers 12) → annonce le crépuscule, le poète regarde par la