Commentaire sur iphigénie
Introduction : Le texte commenté est une oeuvre écrite par Racine le 18 aout 1674, « Iphigénie » qui est une oeuvre tragique.
La scène d'où le passage d'où est extraite le passage à commenté est la scène
Le passage à commenter est une tirade d'Ulysse, dans la quelle il narre le sacrifice d'Eriphile ainsi que de l'état du camp et d'Iphigénie.
Mon commentaire va se constituer de trois partie, la visée de la tirade, la notion de sacrifice et la mise en scène.
Partie I : Visée de la tirade
1. Que dit la tirade ?
Cette tirade d'Ulysse nous raconte l'état dans lequel se trouvait le camp au moment du sacrifice d'Iphigénie, comme le prouve cet extrait du texte : « Jamais jour n'a paru si mortel à la Grèce. » (l.3); mais aussi l'état d'Iphigénie après la mort d'Eriphile : « Tout s'empresse, tout part. La seule Iphigénie dans ce commun bonheur pleure son ennemie. » (l.28/29)
2. A qui s'adresse Ulysse et quel sentiment cela provoque ?
Ulysse s'adresse à Agamemnon, cet extrait nous le démontre : « De ce spectacle affreux votre fille alarmée. » (l.7), Ulysse raconte en réalité des faits déjà passés, ce qui a pour effet d'appuyer le texte par le biais d'une répétition, ce qui renforce l'effet produit par le sacrifice d'Eriphile et l'état dans lequel se trouvait le camp avant cela.
3. Quels sont les moyens utilisés pour provoquer cela ?
Plusieurs procédés d'écriture sont utilisés dans ce texte pour augmenter son effet, parmis lesquels se trouve l'oxymore : « De ce commun bonheur pleure son ennemie. » (l.29), l'anaphore : « Déjà de traits en l'air s'élevait un nuage; Déjà coulait le sang, prémices du carnage. » (l.11/12) ainsi que « Les dieux font sur l'autel entendre le tonerre; Les vents agitent l'air d'heureux frémissement » (l.26/27) (nous pouvons noté que à deux