Commentaire sur le travail de l'écrivain
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Flaubert Gustave (1821 – 1880 est un écrivain français, oscillant sans cesse entre le romantisme et le réalisme. Il a écrit plusieurs romans tel que Salammbô (1862) ainsi qu'un drame philosophique : La tentation de St Antoine. Certains de ses romans firent scandales comme Mme Bovary (1857). Ce roman raconte l'histoire de Emma Bovary, femme mariée qui va commettre deux adultères puis à cause de beaucoup d'emprunt qu'elle va devoir rembourser elle décide de se suicider avec en avalant de l'arsenic.
L'auteur mettra cinq ans à finir ce roman. Durant ses années, il souffrira psychologiquement, physiquement ainsi que de problème matériel. Il correspondra avec son amie Louise Colet pendant la rédaction du roman.
En effet l'auteur entretiendra une correspondance avec celle-ci et lui témoignera ses difficultés à écrire se roman. Il a rédigé beaucoup de brouillons « Je gâche un papier considérable » pour tenter d'arriver à un prose parfaite. Comme on voit sur ses feuilles, elles sont énormément annotées et pleines de ratures « Que de ratures! ».
Durant toutes les années où il écrira, il ne touchera pas de revenu et donc aura des difficultés financière pour le papier ainsi que l'encre.
Comme en témoigne ces lettres, elle sont écrites tardivement « Croisset […] samedi 4h ». Flaubert devra travailler à la lueur d'une lampe pendant de longues nuits. On dit même que sa lampe servait de phare pour les bateaux.
De plus l'auteur passera par différents sentiments tels que la colère avec son chant lexical « mauvaise humeur, agacé, rage, lassé, pleurer, désespéré, amertume, humilié, férocité ». Pour démontrer à quel point, son roman le rend nerveux il utilisera une comparaison « comme des fils de laiton ». Ses lettres témoigne aussi sa lassitude de se heurter à de nombreuses difficultés.
Flaubert à l'impression de ne pas progresser, il compare sa « plume » à un « lourd aviron ». Il est tellement désespéré qu'il exprime des contradictions tel que l'antithèse « désole » et