Commentaire sur therese raquin
Comment l'écriture naturaliste peut donner un deuxième sens à cette incipit ?
Dans ce texte, nous voyons la description réaliste d'une rue: L'auteur à fait en sorte que le narrateur puisse se projeter dans la rue à travers ses yeux grâce a des précisions spatiales, temporelles puis il s'efface petit à petit avec des tournures impersonnelles.
Tout d'abord nous pouvons voir dans ce texte différentes précisions spatial introduites par l'auteur comme les noms des rues bordant le pont-Neuf « au bout de la rue Guénégaud, lorsqu'on vient des quais » l1-2, qui nous permettent de situer le lieu « une sorte de corridor étroit et sombre qui va de la rue Mazarine à la rue de Seine. » l 2. 3 ainsi que plusieurs mots se rapportant au vocabulaire mathématique qui vienne renforcer les références géographique « Ce passage a trente pas de long et deux de large au plus » l 4. Nous retrouvons aussi partout dans le texte des compléments circonstanciel de lieu comme « au bout de la rue » l.1 et « à gauche » l.13 qui eux aussi permettent de nous situer plus précisément. L'auteur dans cette partie nous donne une description exhaustive du lieu se qui nous fait ressentir une impression d'exiguïté. L'auteur fait en sorte que le narrateur puisse bien se projeter dans le lieu, rentrer dans l'histoire à travers cette description détaillé.
En effet l'auteur fait en sorte que le narrateur puisse se projeter dans le lieu et par la suite puisse situer celui-ci en introduisant différentes précisions temporelles qui situe l'histoire. Pour ceci il a introduit dans le texte des élément qui situe la description dans une période de l'année « Par les beaux jours d'été » et les effets de cette période sur le lieu. Plus loin il nous le décrit en hiver « Par les vilains jours d'hiver » qui nous montre bien que la description couvre toutes les parties de l'année. Dans cette description c'est un présent de vérité général ou d'actualité qui est