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Commentaire thérèse raquin de zola (chap.xi)

889 mots 4 pages
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Nysma entra dans la salle, s’assaillit sur la chaise, vit un interlocuteur, puis commença son récit.
-Commence pas à stresser...J’te l’ai déjà dit que je serai là pour corriger tes erreurs.
-Je sais mais t’es qu’un anneau...
-Un anneau qui t’accompagne depuis ton niveau 60 auquel tu as rajouté un anneau vivant par-dessus.
-Oui bon bref commençons... Le 13 fraouctor 425, une jeune fille naquit dans la soul society...
- Soul society tu es sûre ? -Euh dans le monde des douze pardon, plus précisément dans le coin des bouftous d’Amakna d’où son nom, « Nysma » qui en langage bouftou signifiait un signe de paix. Son père était un grand jedi...
-Non on parle de ton père la...
-Ah oui euh, [...] grand Iop nommé « Frodio »tandis que sa mère était une Sacrieuse nommée « Fewya ». Son père, ancien Iop, manipulant la force, portait une tunique meulou. Il avait aussi des yeux bleus, un bleu intensément clair tel l’eau du lac de Cania, dont Nysma avait héritée. Sa mère quant à elle, préférait maîtriser l’agilité, auquel on ralliait l’air. Sa mère avait expliqué à sa fille que au fil du temps, ses cheveux étaient devenus rouge, un phénomène plutôt incroyable dont Nysma n’avait pas hérité, mais elle avait cependant gardé le même caractère que sa mère : certaines fois têtus mais toutes deux ne s’étaient jamais rabaisser devant un homme.
Le père de la jeune fille, Frodio, était mort suite à un certain jeu, le jeu du pet qui saigne. Sa mère lui avait expliqué que cet incident était arrivé lors d’une nuit trop arrosée faite par son père. Suite à ça, Frodio n’arrivait plus à faire ces besoins. De jour en jour, il prenait du poids, jusqu’à ressembler à un Gloutoblop et il réussissait à attraper toutes les maladies du monde des douze. Puis une nuit, il lâcha tout ce qu’il avait encaissé depuis un mois... le tout sur la tête de sa femme. Celle-ci, énervé au plus au point, n’avait pas cherché à comprendre et l’avait tué sur le coup. Fewya, lorsqu’elle racontait cette

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  • Lamb to the slaughter
    302 mots | 2 pages

    Il y avait un air lent sourire d'elle, et de tout ce qu'elle a fait. La chute de la tête comme elle se pencha sur sa couture était curieusement calme. Sa peau - car c'était son sixième mois de l'enfant - avaient acquis une excellente qualité translucide, la bouche est douce et les yeux, avec leur look placide nouvelle, semblait plus grand, plus sombre qu'auparavant. Quand l'horloge a dit cinq heures moins dix, elle a commencé à écouter, et quelques instants plus tard, ponctuellement, comme toujours, elle a entendu les pneus sur le gravier à l'extérieur, et la portière qui claque, les traces de passage de la fenêtre, la clé tourner dans la verrouiller. Elle ôta sa couture, se leva, et s'avança pour l'embrasser comme il est venu po«Tiens, ma chérie, dit-elle,« Tiens, répondit-il.….

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  • Fab victime
    681 mots | 3 pages

    Il admirait beaucoup sa mère, même si au fond, elle restait mystérieuse et éprise d’une foi qu’il avait du mal à comprendre. Il ne savait pas grand-chose sur sa vie et les épreuves qu’elle avait traversées, si ce n’est une enfance relativement difficile, avec un père qui l’a battait. Quand Fabien regardait sa mère, il savait qu’elle était prête à sacrifier sa vie pour ses enfants, sa plus grande fierté. Elle même ne se confiait pas beaucoup.….

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  • bilal
    3017 mots | 13 pages

    Quand elle venait chez nous, ma mère m'obligeait à lui baiser la main parce qu'elle était chérifa, fille du Prophète, parce qu'elle avait connu la fortune et qu'elle était restée digne malgré les revers du sort. Une relation comme Lalla/Aïcha flattait l'orgueil de ma mère. Enfin, tout le monde s'engagea dans l'escalier. Nous nous trouvâmes bientôt dans lame.….

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  • Pièce de théatre
    681 mots | 3 pages

    (regardant la mère) Mère Et c’est toi qui dit ça ? Etant donné que tu n’es jamais là, remets-toi un peu en cause. Père Ah ça c’est la meilleure !….

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  • Jaime sa moi-edward
    708 mots | 3 pages

    » a dit sa mère. Non seulement à ce moment qu’elle était méchante avec lui, cela se déroula au courant de tout le film. Lorsqu’il revenait de l’école, il rentra et sa mère était avec un autre homme, elle l’intimidait, l’insultait et le faisait même sortir de la maison. La priorité numéro un d’une mère devrait être leurs enfants, pas un homme. Frapper un enfant n’est également surtout pas la bonne chose à faire.….

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    Lorsqu’il eut fini, je me suis enfuie en courant. Quand je me suis rendue compte que j’étais enceinte, je n’ai pas osé le dire à ma mère. J’avais honte. 1 mois plus tard, ma mère s’en est rendue compte, et m’a fait comprendre que nous étions dans l’incapacité de nous occuper de cet enfant car il faut savoir que ma mère est seule pour s’occuper de mes deux sœurs et de moi.….

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    Art culture et idéologie à l’age industriel Ci-dessus, une photographie de Morimura qui parodie l’Olympia de Manet La place de l’art au XIXe siècle – Le modèle au chat noir « Le modèle au chat noir » est une émission de télévision présentée par Marcel Cuvelier sur ARTE en 1998 et réalisée par Alain Jaubert. C’est un documentaire qui présente plusieurs tableaux que le réalisateur décrit et commente. Ainsi il présente les nus qui ont choqués à l’époque, notamment Olympia de Manet, et met en avant les liens qu’ils ont entre eux. L’émission dure environ 28 minutes.….

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  • Commentaire thérèse raquin de zola (chap.xi)
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    =) description passé simple : cessa = v d'action insiste sur une coupure, sur L description du paysage :scène réaliste, on s'y croirait + lieu sombre, tristes et grand =) lieu pesant, les pers sont opprimés =) la mercerie=) cercueil + adjectifs de couleurs du deuil =)la mort : sombres, noires, blanchâtre et rougeâtre (x2) =) péjoratif reviennent très souvent et sont plus forte au fur et à mesure + CL de la mort :"brûlé", "noires", "ombres", "dernières", arbres vieillis jettent leurs feuilles, sent la mort venir, des linceuls dans son ombre,taches brunes et grises qui s’effaçaient + obscurité contraste avec le jeu des lumières +des CCL et CCT : évocation de lieu et de tps en début de paragraphe + personnification : ..., se dressait le grd massif... la campagne, brûlée par les rayons ardents de l'été... des souffles plaintifs + comparaison :les deux rives [...], étaient comme deux larges bandes qui allaient se rejoindre à l'horizon….

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    L’incipit de la nouvelle Therese Raquin, écrit par Emile Zola, est une profonde description du lieu où se déroule le reste l’histoire : le passage du Pont Neuf. Zola décrit ce lieu comme un endroit presque hanté et utilise de nombreux procédés littéraires pour dépeindre l’image de la mort. Pour commencer, l’auteur crée une atmosphère angoissante et mortifère grâce à un vocabulaire péjoratif et noir tel que « sombre », « obscures », « sales », « dans l’ombre », « lugubres », « ignobles » et d’autres termes. Ces mots décrivent tous la lumière et les couleurs sombres du Pont Neuf, ce qui renforce l’image d’un lieu malveillant.….

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    Le frère en question est un être diabolique, qui se permet de prendre la place du père de famille lors de sa mort. Il pense avoir tous les droits. Sa mère, lui étant dévouée, n'a d'autre choix que de l'accepter. Lorsque la mère frappera sa fille, le frère aîné je cite page 73 « dit qu’elle a raison de battre l’enfant… ». Les liens de la jeune fille avec le frère aîné sont, eux au contraire marqués par….

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    à ses jours en se jetant dans la rivière de Briève devant son père qui l'a secourue. Selon les propres termes de l'artiste : " l'araignée est une ode à ma mère. Elle était ma meilleure amie. C'est comme une araignée, ma mère était une tisserande. Ma famille était dans le métier de la restauration de tapisserie et ma mère avait la charge de l'atelier.….

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