Rq. : Le présent document comporte des « fiches » ayant fait l’objet d’un travail personnel (les explications de L’Etranger ont été faites en collaboration avec Mme Aïda Berrahal); certains documents et passages concernant la vie des auteurs, la présentation des œuvres, … ont été importés d’internet et de différents ouvrages (ouvrages d’experts, anthologies littéraires, manuels scolaires). Rq. : les documents ont été retravaillés pour les rendre plus accessibles / Certains passages ont simplement été copiés-collés. Si des erreurs (fautes d’orthographe, …) se sont glissées, je vous prie de m’excuser et vous demande tout simplement de les corriger en attendant que je vous en fasse part ultérieurement.

L’évolution du roman

Le texte romanesque

Le texte romanesque est un récit de taille très variable, mais assez long, aujourd'hui en prose, qui a pour objet la relation de situations et de faits présentés comme relevant de l'invention, même si l'auteur recherche souvent un effet de réel, ce qui le distingue du simple récit-transcription (biographie, autobiographie, témoignage...), mais aussi du conte, qui relève du merveilleux.

Le roman est un genre littéraire aux contours flous, caractérisé pour l'essentiel par une narration fictionnelle plus ou moins longue, ce qui le distingue de la nouvelle. La place importante faite à l'imaginaire transparaît dans certaines expressions comme « C'est du roman ! » ou dans certaines acceptions de l’adjectif « romanesque » qui renvoient à l'extraordinaire des personnages, des situations ou de l'intrigue.

Le roman, très vite écrit en prose, dès la fin du xiie siècle, se définit aussi par sa destination à la lecture individuelle, à la différence du conte ou de l'épopée qui relèvent à l'origine de la transmission orale.

Au fil des derniers siècles, le roman est devenu le genre littéraire dominant avec une multiplicité de sous-genres :

- le roman d’initiation, de formation, d’apprentissage ou d’éducation