Le texte étudié est un extrait du roman Les Misérables. de Victor Hugo. C'est un romancier, poète, dramaturge et dessinateur romantique français. Ce roman est parut en 1862 pendant le XIX ème siècle étant le siècle de la modernité littéraire. Ce roman est un roman dénonciateur qui allie discours et narrations. Comment le milieu carcéral dévaste-t-il la nature humaine ?Jean Valjean, détruit par le bagne, sert d’exemple dans le réquisitoire contre la …afficher plus de contenu…

Dans le premier parallélisme, on peut remarquer les deux adjectifs « méchant » ainsi que « impie », ce sont deux adjectifs négatifs décrivant le caractère de Jean Valjean. Dans le second parallélisme, on y voit un complément circonstanciel de manière « sévérité », «qui regarde le ciel avec sévérité» donc il doit penser à sa liberté. A la ligne 30, une énumération d’adjectif nous montre la tristesse de Jean Valjean créé par bagne. On peut observer que dans le texte que Jean Valjean n’est pas un bagnard comme les autres, il se distingue des autres. De la ligne 1 à 5, on remarque un autre temps du récit comme de l’imparfait, avec des verbes comme « était », « devenait » qui persiste, ensuite on peut voir du passé simple servant à décrire une scène, une métaphore filée …afficher plus de contenu…

Jean Valjean) est désespéré et avachi sur sa tristesse. Même en se démarquant des autres, il n’y a plus aucune chance de se rattraper. Victor Hugo utilise ce roman comme un réquisitoire contre la prison pour montrer les conditions de vie au bagne. On entend la voix de l’auteur voulant susciter la pitié pour les bagnards, derrière celle du narrateur. Comme le mouvement du texte le montre, la voix de l’auteur se confond avec celle du narrateur. Dans la première partie du texte, c’est la voix du narrateur qu’on entend. Puis, une transition avec le verbe « méditer » qui va nous faire réfléchir, cela est suivi du discours de Victor Hugo sur la nature humaine. Ceci est complétée avec le lexique de la misère, l’auteur nous montre qu’en arrivant au bagne on est condamné au malheur éternel. Pas mal de questions rhétoriques défendent l’idée d’un texte dénonciateur. Elles sont composées d’une gradation décroissante: « nature humaine », «