Commentaire
Nous pouvons, en premier lieu, remarquer que Rousseau parle de lieux idéal pour lui : Il compare par le biais d’une personnification de « la tuile […] qui à l’air plus propre et plus gaie que le chaume » (4) ; ensuite, il utilise le terme « mon pays » (5) pour appuyer le fait qu’il idéalise les lieux, et qu’il est comme dans un rêve. C’est donc pour cela qu’il utilise le présent du Conditionnel, car l’auteur sait que cela ne se passera pas. A la ligne 9, l’auteur met en évidence une allitération de [i] et de [é] dans la phrase « ne seraient ni comptés ni cueillis par mon jardinier ». L’oxymore « mon avare magnificence » est ensuite suivie d’une personnification « des yeux des espaliers» (10) qu’ils trouvent superbes qui montre que Rousseau ne montrerait sa richesse à quiconque alors qu’à la ligne 8 l’auteur dit le contraire « à la discrétion des promeneurs, se seraient ni comptés ni cueillis par mon jardinier ». Quand il évoque son monde, il emploi le terme « mon asile », qui exprime le fait que ça ne se passe que dans sa tête. C’est donc la présentation des lieux qui traduit l’idéal de