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C'est une terre nouvelle, illuminait par le soleil, une terre bleu enrichie d'océans, une terre d'eau et d'arbres. En ouvrant grand les yeux on aperçoit un petit village fleurie avec des petites maisonnettes.
Et un autre petit village avec des maisons moins accueillante. C'est une terre ou la vie né, dont les hommes sont chassé par les femmes. C'est une terre qui n'est pas encore dans notre mémoire, qui n'appartient pas encore à la géographie. C'est un territoire nouveau, qui abrite des jolis petit animaux qui se cache dans les forêts.
De part et d'autre de cette langue de terre, un peuple, animés par la beauté et la joie, mais aussi par le dégoût des hommes. Ce peuple neutralisé par ce même dégoût, le dégoût de l'esclavage des femmes de leur liberté envers les hommes. Et non loin de cette terre un autre peuple. Un peuple abritant des hommes. Des hommes chassaient par ses femmes.
On serait incapable de dire a quand remonte la dernière incursion. Cela fait bien longtemps que nul n'ose plus s'aventurer pour défier les femmes.
Les jours passent dans la peur. Dans quelques années, il ne restera que quelques vieillards pour se souvenir de cette révolte, d'une telle séparation. Ce jour la aurait dû être un jour comme un autre. Pas de raison de déroger à se calme plat. C'est le matin de ce jour-la pourtant que Pierre a choisi pour se faufiler hors de son peuple. Un matin calme et blanc. Il s'est mouillé le bat de son pantalon en passant la rivière. Et puis, il s'est mis à marcher – à marcher en direction du peuple des femmes. D'abord, les hommes ne l'avaient pas remarqué. Ils devaient être occupés à autre chose, ou ils ont cru voir un petit animal se faufilait dans la rivière. Mais assez vite, ils ont du se rendre a l'évidence: c'était bien un homme qui avait traversé la limite a ne pas dépasser. Ils branchèrent les haut-parleurs et lui ont intimé l'ordre de rentrer sur le