Communication evenmentielle
L’ouverture du marché Algérien à l’économie mondiale est aujourd’hui une évidence, la conséquence de cette évidence est qu’aucune entreprise Algérienne ne peut prétendre de nos jours à l’exercice de son activité sans avoir mis en place un circuit normatif de la communication et du traitement de l’information.
La frénésie de communication s’est emparée des dirigeants des entreprises et des multinationales des pays développés. On sait qu’un responsable, de nos jours et quelque soit l’organisation à qui il appartient, passe de 60 à 80% de son temps à communiquer, à lire des lettres, à en écrire, à téléphoner, à émettre des instructions, notes et bulletins, à s’informer,…etc. Sans compter le temps passé en discutions, réunions et entretiens.
Si cette intense activité de communication occupe la majeure partie du temps professionnel, il est par contre surprenant de constater que pour la grande majorité des entreprises algériennes, ce domaine a été singulièrement négligé. La qualification technique reste le souci dominant, voire exclusif, et tout se passe comme si l’on faisait confiance à la nature, à la providence ou à la bonne volonté des personnes, pour que la communication se fasse d’elle-même. On s’aperçoit, aujourd’hui, qu’une déperdition considérable d’énergie, de temps, de rendement, de moral, vient de ce que la formation à la communication a été laissée au hasard ou à l’expérience accumulée de chacun.
Parmi l’ensemble des entreprises exerçant dans l’ouest du pays, l’activité AVAL du groupe SONATRACH est, par l’ampleur de ses tâches autant au niveau interne qu’externe, la plus indiquée pour faire l’objet de notre cas pratique. Nous établirons donc notre problématique sous forme de différentes interrogations ainsi définies :
Quelle serait l’ampleur de la communication