compte rendu chimie organique
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rendu de l’atelier «
Liaison lycée
–
enseignement supérieur en chimie »
La réforme du lycée
Il s’agit d’une véritable révolution pédagogique, dans un cadre horaire contraint, avec de nouvelles modalités d’enseignement qui visent à développer les compétences liées à la démarche scientifique chez les élèves.
Par exemple, les activités expérimentales sont évaluées par compétences et cherchent à renforcer l’autonomie d es élèves.
Les contenus des travaux pratiques sont très variables d’un lycée à l’aut re : certains sont plus informatisés, d’autres mettent davantage l’accent sur les gestes techniques.
L
’étude des incertitudes est en général introduite au fur et à mesure des besoins, souvent lors des activités expérimental es ; certains élèves perçoivent l es incertitudes comme un « défaut de la physique
».
L’accompagnement personnalisé prend des aspects très variés en fonction des établissements
:
il comporte des heures de langue vivante en T erminale S dans certains lycées.
Dans les contenus, l’étude systém atique du quotient de réaction disparaît des nouveaux programmes, mais de nouvelles notions apparaissent en chimie organique
: spectroscopie, stéréochimie, stratégie de synthèse, formalisme des mécanismes réactionnels...
En mathématiques, la dérivation de fo nctions composée s n’est plus exigible et les équations différentielles ne sont plus au programme, mais des notions de probabilités et statistiques sont apparues. L’adaptation dans l’enseignement supérieur
En CPGE, les nouveaux programmes sont rédigés dans la continuité de ceux du secondaire, ils mettent l’accent sur la démarche scientifique, en particulier au travers des compétences liées aux activités expérimentales, des résolutions de problèmes et des act ivités documentaires.
À l’Université, les maquettes sont renouvelées dans le cadre de plans quadriennaux, qui ne coïncident pas nécessairement avec l’arrivée des étudiants issus de la