Compte rendu A LIREcxz
Quelques notes pour éviter la confusion - Léon WALRAS (1834-1910) – Théorie d’équilibre général -
Dans l’exemple simple du blé et de l’avoine, le marché du blé est interdépendant avec le marché de l’avoine : Quand Le prix d’équilibre sur le marché d’avoine est l’inverse du prix d’équilibre sur le marché du blé.
Loi de Walras : si la demande d’avoine est égale à l’offre d’avoine, alors simultanément l’offre de blé est égale à la demande de blé
Différence avec les classiques et Marx : pour eux, la valeur d’un bien existe toujours … Chez
Walras, elle dépend de l’existence de l’équilibre
Selon le document attaché : Prix d’échange – Rapport inverse des quantités de marchandises échangées …
Donc Pour acquérir de l’avoine, il faut offrir une quantité O du blé. Si on offre 100 kg de blé et on sait qu’on peut échanger 5 kg de blés contre 10 kg d’avoine … donc les 100 nous procurent
200 (Règle de trois : 100 * 10/5) --- OR, 10/5 est le rapport inversé d’échange entre le blé et l’avoine et donc il est le prix du blé).
Si on offre 150 kg d’avoine et on sait que 10 kg d’avoine sont échangés contre 5 kg de blés…
Quelle serait les quantités demandées de blé (règle de trois : 150*5/10) --- OR, 5/10 est le prix de l’avoine
Relations sur chaque marché
Si α=1, le marché de chaque bien est équilibré telle que Ob=Db et Oa =Da. Ob=Da*Pa
(mentionné ci-dessus) et Db = Oa*Pa (ci-dessus). Ceci NE signifie PAS que Db=Oa.
Pa et Pb sont les prix respectifs du bien A et du bien B. Il n’y a aucune condition qui implique qu’ils doivent être égaux. La seule condition qu’ils sont réciproques, mais pas égaux !!!