Condenado a muerte - victor hugo
Voltaire, philosophe et grand penseur du siècle des Lumières, à travers son œuvre Candide nous transporte vers un monde fantastique, drôle, absurde et cruel. Candide est une réponse aux philosophes optimistes dans lequel fait la critique d’une société dans laquelle il vit et dénonce les injustices et l’intolérance de l’homme.
Dans l’extrait du chapitre 3 de Candide, l’auteur met en scène un personnage naïf et crédule : Candide, qui est enrôlé de force dans l’arme bulgare et qui vivre de manière inévitable l’expérience de la guerre.
On peut distinguer deux idées que l’auteur décrit de façon narrative: d’abord une vision positive et fictive de la guerre, et finalement, la réalité absurde de ses conséquences.
Développement
La guerre est une situation de conflit cruelle, sans sens et absurde.
Voltaire, montre en opposition à la première idée principale, la réalité cruelle de la guerre et les effets produits sur les populations civiles (« et gagna d’abord un village voisin ; il était en cendres : c’était un village abare que les Bulgares avaient brûlé », l.11-12). En effet, il fait une description de la massacre et la violence mortelle en utilisant le champ lexical des parts et organes du corps : « mamelles » (l.13), « bras », « jambes » et « cervelles » (l.16) ; et le champ lexical de la violence : « brûlées » (l.12), « criblés de coups », « égorgées »(l.13), « sanglantes » et « éventrées »(l.14), dans un style d’oxymore « boucherie héroïque » (l.7-8) qui décrit l’atrocité de la guerre en opposition au héroïsme qui est fictif . Le style d’euphémisme et de périphrase se présent dans le texte : (« là des filles éventrées après avoir assouvi les besoins naturels de quelques héros » l.14-15) qui atténue l'action cruelle comme une nécessité naturelle.
Voltaire dénonce ici la réalité absurde de la guerre avec la complicité de la religion. Les conséquences de la guerre touche tout le monde, surtout les civils (« Ici des vieillards criblés de coups