Conséquence de l'ordinateur sur les jeunes
une très grande part (si ce n'est l'exclusivité) de son temps à pratiquer sa passion, voire son travail, au détriment d'autres activités. Cette addiction affecte ses relations sociales et sentimentales.
Le terme est le plus souvent utilisé pour désigner un joueur souffrant d'une forte dépendance au jeu vidéo ou à l'ordinateur.
M. Goodman, psychiatre anglais, a formulé en 1990 une définition de la dépendance, la qualifiant «d'un processus dans lequel est réalisé un comportement qui peut avoir comme fonction de procurer du plaisir et de soulager un malaise intérieur, et qui se caractérise par l'échec répété de son contrôle et sa persistance en dépit des conséquences négatives». Il a élaboré des caractéristiques communes à toutes les dépendances : impossibilité de résister aux impulsions à réaliser ce type de comportement, sensation croissante de tension précédant immédiatement le début du comportement, plaisir ou soulagement pendant sa durée, sensation de perte de contrôle pendant le comportement.
Causes
elle peut être notamment due à un important mal être social, un refus d'affronter les différentes pressions auxquelles sont soumis la plupart des individus (éducation, examens, travail).
Les jeux vidéo peuvent être une porte de sortie, un moyen de s'isoler et d'éviter cette pression.
l'ennui, qui fait que faute de mieux, le nolife se consacre uniquement aux jeux vidéo.
la tendance générationnelle croissante privilégiant davantage les divertissements et activités à domicile que celles s'effectuant à l'extérieur[6]. Certains parlent même d'expériences physiques lorsqu'ils vivent des événements virtuels socialisant (par exemple se promener ou pêcher avec un ami par le biais des avatars)[7].
Néanmoins, plus rarement[3], certains joueurs peuvent créer des liens dans leur vie virtuelle (à la suite d'aventures en commun, par exemple), qui seront transférés dans la « vie réelle » : certains adeptes de ces jeux se rencontrent réellement et