Conscience
Il démontre sa thèse en partant dans un premier temps d’une définition très générale de la personne : est une personne un être pensant et donc conscient, et qui se rapporte à lui-même comme étant un seul et même être (lignes 1 à 3). Dans un second temps, il en déduit que par conséquent pour se considérer (pas « être » ! c’est important !) comme la même personne en différents temps et différents lieux on n’a besoin que de ça : inutile de recourir à quoi que ce soit d’autre (cf. « substance ») (lignes 3 à 12). Enfin, il pose nettement, en conclusion, sa thèse concernant le fondement de la notion de personne (et il la précise, cf., en plus de conscience,